Jour du drame : Le 24 octobre 2013
Heure du drame : Vers 11h
Lieu du drame : La salle mutimédia
Personnes présentes : Alexandra, Le Grand Sage Springer, moi-même (et Gwendoline et Anaïs par la pensée)
Personnes présentes : Alexandra, Le Grand Sage Springer, moi-même (et Gwendoline et Anaïs par la pensée)
Le drame en lui-même : Notre super projet et nos supers idées ben ça va paaaaaaaas.
Pour être un peu plus sérieuse, nous avons discuté avec M.Springer de notre projet et il a soulevé quelques couacs (notamment le : "Mais vous n'avez pas lu la consigne. Il faut lire la consigneeeeeuh"). Monsieur, on a luuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu la consigne, mais on ne l'a pas compris en fait. On a aussi bien vu, après les remarques fort utiles de notre très cher professeur
que nos activités et notre tâche finale étaient trop longues et trop difficile par rapport au niveau des apprenants.
Bref après presque une journée de rage, de désespoir, de peine, de larmes, de pourquoi et de comment on a rebondit sur nos pattes ! Eh oui, mon groupe ne se laisse pas abattre. Voyez comme on est fort !
Nous nous sommes donc réunies toutes les quatre pour essayer cette fois de comprendre la consigne (normalement on tient le bon bout), on a demandé un peu à nos petits camarades de nous éclairer, et on a travaillé la chose et puis on a réussit (on l'espère) à être dans le sujet, et à proposer des activités et une tâche finale moins lourdes et moins difficiles. (Je dois bien avouer qu'après avoir écouter les paroles de notre Grand Sage je me suis rendue contente qu'on était partie un peu trop loin pour le niveau en question.)
Bien évidemment nous devons encore travailler là-dessus, notamment sur l'évaluation, bien que nous ayons déjà quelques pistes. On se réunira à nouveau, et puis il reste encore une séance.
Voilà, la petite morale de cette histoire est qu'il ne faut pas se relâcher et qu'il faut garder espoir et confiance lorsque l'on se rend compte que quelque chose ne va pas. On s'est rendue compte de nos erreurs, et nous les avons corriger, c'est le plus important n'est-ce pas ? (Quelle phrase pleine de "poèsie", de "philosophie", de "bon sens" etc., etc., etc.)
Nous nous sommes donc réunies toutes les quatre pour essayer cette fois de comprendre la consigne (normalement on tient le bon bout), on a demandé un peu à nos petits camarades de nous éclairer, et on a travaillé la chose et puis on a réussit (on l'espère) à être dans le sujet, et à proposer des activités et une tâche finale moins lourdes et moins difficiles. (Je dois bien avouer qu'après avoir écouter les paroles de notre Grand Sage je me suis rendue contente qu'on était partie un peu trop loin pour le niveau en question.)
Bien évidemment nous devons encore travailler là-dessus, notamment sur l'évaluation, bien que nous ayons déjà quelques pistes. On se réunira à nouveau, et puis il reste encore une séance.
Voilà, la petite morale de cette histoire est qu'il ne faut pas se relâcher et qu'il faut garder espoir et confiance lorsque l'on se rend compte que quelque chose ne va pas. On s'est rendue compte de nos erreurs, et nous les avons corriger, c'est le plus important n'est-ce pas ? (Quelle phrase pleine de "poèsie", de "philosophie", de "bon sens" etc., etc., etc.)